Il ne s’agit pas ici de chercher les bugs de WordPress, mais bien comment trouver vos erreurs.

Lorsque vous fabriquez des thèmes ou des extensions persos…

Un client venant de fermer son site (pour le rouvrir sous un autre nom bientôt), cela m’a poussé à me pencher sur le mode maintenance de WordPress.

Comment désactiver un site en quelques instants, pour une durée plus ou moins longue?

Et surtout, comment personnaliser cette page!

Le protocole HTTPS étant devenu une quasi obligation, il m’a paru utile de faire un petit tuto des étapes à effectuer pour migrer un site existant (sous WordPress) d’une version HTTP à une version HTTPS…

Pour ce faire, rien de mieux qu’un cas pratique que nous allons suivre étape par étape.

Et donc, le site http://www.richardcarlier.com va devenir, au fil de votre lecture https://richardcarlier.com. J’en profite pour supprimer le www qui ne sert, quand on y pense, pas à grand chose…

Dans un projet WordPress, si on utilise Git, il n’est pas utile de commiter l’ensemble des fichiers de WordPress; uniquement ceux qui concernent notre projet.

Soit, en général, un thème et quelques plugins personnalisés (parfois un must-use).

Comment configurer son fichier .gitignore ?

Quand on crée un thème WordPress, il convient souvent de définir dans notre feuille de style un certain nombre de classes indispensables, car générées automatiquement par le CMS, par certaines fonctions ou par l’éditeur Wysiwyg.

Petit catalogue (exhaustif?)

D’après WordPress, WordPress s’installe en 5 minutes environ. Sauf que la plupart du temps, il faut passer de longues minutes à uploader les fichiers qui composent WordPress (en plus des 5 minutes).

Alors qu’un petit bout de PHP suffit à faire ça en 6 secondes…

Passer d’un site dynamique un peu old school fait à la main vers un site WordPress m’est déjà arrivé plusieurs fois.

Il s’agit de prendre intelligemment les données issues d’une structure pour aller à vers une autre, une bonne requête SQL pouvant faire l’affaire.

Cette fois, prenons une précaution supplémentaire: utilisons des fonctions WordPress dédiées.

De nombreux hébergeurs proposent des outils d’installations automatiques de scripts, dont WordPress (et d’autres, pratique pour tester).

Problème, ce sont souvent des versions anglaises (et parfois des versions anciennes).

Que faire ? Petit mémo…

Curiosité de WordPress, il existe dans l’éditeur un bouton « insérer balise More » (qui sert à séparer l’extrait), mais pas de bouton « insérer balise page suivante ». Forçant à aller dans le code source (mode Texte) et saisir manuellement le tag <!–nextpage–>, pénible pour les personnes non habituées.

Or la fonctionnalité existe, il faut l’activer, tout simplement.

Suite de mes aventures au pays des Extensions WordPress… Pour mémoire, dans l’épisode précédent je soumettais ma demande d’accès à l’équipe WordPress, ce qui fut très rapide.

Mais pour autant, le travail n’est pas encore terminé en ce qui me concerne.

Car c’est là que commence l’inconnu: mettre à disposition des internautes!